Archives de l’auteur : Fab

Odroid M1, premières impressions: pratique, SSD rapide mais CPU lent

J’ai finalement acheté un Odroid M1, vu que le Raspberry 4 (que j’aurais préféré) n’est pas prêt d’être dispo. Mes premières impressions.

  • Une installation basique d’Ubuntu est très simple, juste en mettant un SSD M2, avec une connexion Internet par Ethernet, un écran et un clavier.
  • Petitboot, le gestionnaire de boot, n’est pas mature (ne sauve pas certains réglages).
  • Les performances CPU sont très décevantes, de l’ordre de mon Odroid X2 vieux de 9 ans.
  • Les performances disques avec SSD M2 sont très bonnes. En linéaire, 700Mo/s en lecture, 200Mo/s en écriture avec un simple Fox Spirit PM18 M.2 2280 (marque LDLC). Il y a 9 ans, la puce eMMC de mon Odroid X2 donnait 47Mo/s et 30Mo/s.
  • L’OS officiellement supporté est Ubuntu 2020.04. La version 2022.04 a des limitations de support matériel, notamment pas d’affichage graphique (bref, on ne peut pas l’utiliser en ordi de bureau).
  • Mon vieux modem-routeur Thomson TG784n a un comportement bizarre: je ne peux pas lui donner un bail DHCP illimité. En DHCP le transfert de trafic (ex: de serveur HTTP) cesse de fonctionner au redémarrage suivant quand il obtient une nouvelle IP. J’ai dû mettre une IP statique (et des passerelles et DNS en dur).
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Rémunération des parts sociales du Crédit Coopératif

Scène de type Pixar: un homme rieur en chemise blanche et cravate rouge est assis à une table couverte de pièces de cuivres dont certaines semble en train de tomber
Mais qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire de tous ces centimes!

(préambule: s’agissant de placements financiers, je n’ai pas d’expertise particulière, je ne garantie pas que les informations qui suivent soient exhaustives, et n’assume aucune responsabilité sur les pertes que vous pourriez faire)

Cette banque propose d’acheter ses parts sociales. La page consacrée liste des risques, notamment: rémunération non-garantie, risque d’illiquidité (potentielle impossibilité de revendre ses parts), risque de perte de valeur des parts, responsabilité du détenteur vis-à-vis des pertes jusqu’à 5 ans après revente…

J’ai eu du mal à trouver quelle avait été la rémunération (imposable!) des parts « P » (pour les particuliers) par le passé, pour le comparer à l’inflation. Je n’ai pas trouvé directement sur le site du Crédit coopératif, mais en cherchant sur Duckduckgo les pdf de leur site:

  • 2021: 0.5%, 2020: 0% (source, page 44)
  • 2019: 1.15% (source, page 22)
  • 2018: 1.35%, 2017: 1.35% (source: page 59)

Je suis tombé sur ce billet de blog de 2012 où l’auteur est très critique sur le principe des parts sociales de banque dans un but de profit (illiquidité, risques…). Pour lui, c’est plus de l’ordre de l’acte militant.

Batterie non-remplaçable = appareil jetable, n’achetez pas!

Paul Atréides (interprété par Timothée Chalamet), le personnage de Dune, tient en main un rasoir électrique
L’Épice donna à Paul Atréides la vision du futur de son rasoir: un déchet électrique.

Un appareil dont la batterie n’est pas remplaçable est à l’horizon de quelques années un déchet électronique en puissance. Refusez ce genre de pratiques et n’achetez que des appareils dont la batterie est remplaçable et facilement disponible.

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Application tardive du recours direct (L124-3): Allianz condamnée

L’assurance adverse Allianz a attendu 4 mois et le début d’une procédure judiciaire pour vouloir m’indemniser des dommages faits à mon vélo, que je ne pouvais réparer sans leur aval. Le tribunal l’a condamnée. Je recommande fortement d’éviter cette société d’assurance.

Voila ce que je retiens de ces deux litiges.

Un montage d'un marais inspiré des Marais Morts du Seigneur des anneaux au bout duquel se trouve une court de justice ressemblant à la Court suprême des États-Unis d'Amérique
« On n’obtient pas si facilement la Justice. Ses Portes Noires ne sont pas gardées que par des Orques. En ces lieux il y a un mal qui ne dort jamais. » Boromir, fils de Denethor
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Ce que je ne savais pas sur le cyclotourisme

Dessin dans le style Makoto Shinkai: un·e cycliste portant une casquette et debout avec son vélo entre les jambes sur une piste étroite encadrée de murets et rambardes. Le chemin descend la pente abrupte d'une colline. La personne semble admirer la vue sur une ville côtière en contrebas. La végétation est verte et le ciel bleu avec des nuages indiquant un temps venteux.
La grande aventure du cyclotourisme!

Voila des choses que je me suis rendu compte qu’une fois sur la route.

  • Ne pas surestimer la distance qu’on peut faire lors d’une journée, ni sous-estimer la fatigue et les douleurs qui peuvent s’accumuler au fil des jours. Je pensais au départ que si je pouvais faire sans problème 100km un jour de week-end, je pourrais faire une distance un peu plus courte (ex: 75km) chaque jour de mon trajet. Sauf que pendant un voyage:
    • On n’est plus aussi frais par la suite qu’au premier jour.
    • On peut avoir le vent de face toute la journée, voire pendant plusieurs jours, et ce n’est plus du tout le même effort.
    • On peut se tromper de route ou vouloir faire un détour.
  • Ou partir plus tard le matin. Ou prendre le temps de visiter des lieus touristiques, se baigner, ou juste s’arrêter admirer le paysage.
    • Quand je suis le nez dans le guidon, je n’arrive pas à apprécier le paysage. À 15-20 km/h, j’ai l’impression d’en profiter.
    • On est plus chargé que lors d’une sortie à la journée, donc plus lourd, et moins aérodynamique. Je me contente de 2 sacoches arrières Ortlieb Backroller Classic bien solides et étanches (je recommande!), mais certains ont aussi des sacoches avant, une tente sur le porte-bagage et/ou une remorque.
    • Les pépins physiques sont plus embêtants quand les jours d’efforts s’enchaînent. Lorsque j’atteins ma limite physique, je commence à avoir mal au genou, et enchaîner les jours avec cette douleur est pénible.
  • Prendre en compte l’état de la piste cyclable. Sur les itinéraires des Eurovelo 1 (et sa partie Vélodyssée le long de la côte Atlantique), et Eurovelo 6 (Loire et Danube), de nombreuses portions sont des chemins de terre et de gravillons. Certains courts passages sont faits de pavés. Avec des roues de VTC aux pneus quasi-lisses (ce qui est mon cas, j’ai utilisé mon vélo du quotidien), c’est peu agréable. Cela doit être l’enfer avec un vélo de route. On ne roule pas à 30km/h sur ces portions. En fait sur les portions avec des plus cailloux, je dois rouler à 15km/h max, ce qui rallonge bien le temps de trajet.
  • Être bien étanche, c’est indispensable. Rouler sous la pluie pendant des heures c’est possible si on a des sacoches étanches. Marques couramment recommandées: Ortlieb et Vaude. C’est plus cher, mais c’est solide et c’est fabriqué en Allemagne (pas par de pauvres exploités d’Asie du Sud-Est). Les Backroller Classic ont un système où la fermeture s’enroule pour être bien étanche, comme avec des sacs de sports nautiques (maintes fois on m’a demandé si je faisais de la plongée, du bateau ou du kayak 😀). Avec en plus une veste à capuche et un pantalon de pluie couvrant les chaussures, on reste au sec, c’est magique.
  • Bien vérifier minutieusement l’état du vélo bien avant le départ. Pour éviter tout problème pendant le trajet (réparer sur la route sans avoir forcément tous les bons outils et les pièces de rechanges), mieux vaut bien passer en revue le vélo au moins 1-2 semaines avant de partir (histoire d’avoir le temps d’acheter les pièces, de réparer et de tester). Les câbles ou patins de freins ou les patins sont un peu fatigués? Autant les changer avant de partir, ce sera des soucis en moins pendant les vacances.
    Quelque chose semble suspect mais n’empêche pas de bien rouler au quotidien? Mieux vaut investiguer avant le départ pour ne pas tomber sur un problème insoluble au mauvais moment. Deux exemples:
    • Une semaine avant le départ, mon axe arrière faisait un bruit de cognement. J’ai cru le régler en jouant sur le serrage. Mais après 3 jours de voyage sans problème, les symptômes sont réapparus et il s’est avéré qu’il était cassé. Si je l’avais démonté avant de partir, je l’aurais compris et je l’aurais changé.
    • La veille d’un autre départ, j’ai voulu changer mon pneu avant et impossible de détacher la roue (attache problématique). Ne voulant rien empirer à un moment critique, j’ai parié sur le fait que je pourrais regarder plus tard. Sauf que pendant le trajet, j’ai crevé à cette roue. Heureusement, un club de voile a pu me prêter une pince (pas de magasin de cycles ou de bricolage à Roscoff-même), ce qui m’a permis l’enlever l’attache et de la remplacer par une de rechange que j’avais eu la présence d’esprit d’emporter. Mais ça aurait pu être très très pénible!
  • Avoir un garde-boue. Je n’en avais pas (en fait j’ai un pauvre modèle Décathlon simple qui ne tient pas bien donc que je n’ai pas emporté). Je pensais en bricoler un sur mon porte-bagage avec un sac poubelle et de l’adhésif, mais je n’ai pas anticipé la pluie ce jour-là. Au final, le vélo était bien crade. Au final, j’ai acheté des garde-boues SKS S-Board/S-Blade démontable (et volable) facilement.
  • Avoir les outils et pièces nécessaires pour les différents déboires. Si vous avez un problème technique et que vous êtes loin de tout magasin de vélo, ça risque d’être très embêtant pour votre périple. J’avais limité mon matériel à un multi-tool, une pompe, 2 chambres à air, un pneu, des démontes-pneus, des ciseaux, des câbles de freins et de vitesses et de l’adhésif. Cela m’a suffit, mais il me faudrait aussi de quoi réparer la chaîne. J’ai croisé un cycliste du coin qui avait endommagé sa chaîne, et si j’ai un dérive-chaîne dans mon multi-tool, je n’avais pas de maillons de rechange. Heureusement un autre voyageur en avait.
    Pour la prochaine fois, je pense avant de partir m’entraîner à démonter ou réparer les différentes parties qui peuvent poser problème (ex: changer le câble de frein).
    Par contre il se peut que certains types de casse ne soient pas réparables simplement, et quand on est à distance de tout magasin de cycles je ne sais pas comment on pourrait faire. Par exemple, j’ai cassé mon axe arrière, et je n’ai dû mon salut qu’au fait que je n’étais « que  » à 6 km d’une gare SNCF ce qui m’a permis de rejoindre mon étape suivante, puis à 1h en train de Toulouse où il y avait des magasins de cycles ouverts le lundi (contrairement aux autres petites villes) et où on a pu me le changer.
  • Si on loue un vélo, emporter de quoi réparer une crevaison. Si on loue un vélo, cela n’empêche pas que la roue puisse se dégonfler ou se crever. Ça m’est arrivé. Donc si j’avais à louer à nouveau, j‘emporterais ma pompe, des démontes-pneus, un multi-tool pour enlever la roue (si ce n’est pas une attache rapide) et un kit de réparation (rustines…). Ça ne prend que peu de place. Imaginez que vous creviez à 2h de votre destination, vous serez très content d’avoir ce qu’il faut.
  • Il n’y a pas de consignes à bagages dans certains lieux touristiques (ex: la dune du Pilat). J’ai vu plusieurs fois que certains laissent leurs sacoches sur le vélo, moi je ne suis pas rassuré.
  • Il n’y a pas toujours des restos/boulangeries/snacks/supermarchés quand on en a besoin. Surtout quand on est végétarien. Il m’est arrivé de louer une chambre dans un petit bourg où le moindre resto était à 6km aller; donc au « dîner » ce soir-là: pommes et cookies. Donc mieux vaut prévoir le coup: par exemple acheter des sandwichs dans une boulangerie le matin si on n’est pas sûr de trouver pour le midi et le soir.

En tous cas, mes deux voyages le long de la côte Atlantique et le long de la Loire ont été de très bonnes expériences (et en plus c’est écolo). Je recommande.

Conseil selle pour cyclotourisme: SMP TRK Medium (non-gel)

Pour un voyage à vélo, les selles en cuir, notamment la Brooks B17, sont plébiscitées. Je n’en ai pas acheté une parce que je ne voyage pas souvent, elles sont plus chères (au moins 100€) et les selles en cuir craignent la pluie (il faut les protéger avec un couvre-selle). Je me suis tourné vers une SMP TRK Medium (version sans gel) qui est également populaire et que je recommande, plutôt qu’une selle avec gel.

Ma selle de remplacement de mon VTC, une Giant Contact Confort+ avait subi des petites coupures qui commençaient s’agrandir et laisser sortir le gel. Comme elle avait tendance à me donner des sensations de brûlures lors de ballades ou lors d’un voyage cyclo-touristique le long de la Vélodyssée, j’ai songé à la remplacer.

Une selle de vélo noire de type gel avec fissure dans la longueur, réparée tant bien que mal avec de l'adhésif noir

Dans les forums, les selles en cuir sont très souvent citées par les voyageurs. En synthétique, c’est la SMP TRK Medium que j’ai vu plusieurs fois (attention, il y a une version gel). Contre-intuitivement, les selles avec gel sont déconseillées dans les forums de voyageurs, ce qui peut expliquer mon inconfort pendant des journées de pédalage avec la selle gel Giant. Certains leur reprochent à leur forme de finir par s’affaisser.

Lors de mon dernier voyage (15 jours avec 50km par jour), la SMP TRK a été satisfaisante. J’ai par contre eu quelques petites irritations/lésions qui ont provoqué des sortes de petites boules, qui ont disparues après le voyage. Un peu inquiétant mais pas vraiment douloureux. Cela est peut-être plus dû soit au réglage de ma selle (avant-arrière) ou bien aux types de vêtements que je portais (pas de cuissard mais un short de jogging et des boxers et slips classiques).

Une selle de vélo de type sportif avec des logos SMP, TRK et de drapeau italien. Elle semble relativement étroite mais plus large à l'arrière. Elle est creusée par une fente centrale sauf à l'avant.

En fait, maintenant je ne vois pas l’intérêt d’une selle gel: au quotidien les vertus de tel ou tel type de selle seront limitées vu la brièveté du trajet, et pour les voyages le gel n’est pas recommandé.

Mise à jour après un an

Le plastique s’en fendu sur 4 cm dans la partie intérieure. Un an, cela fait peu. Après 6 mois, une simple réparation à la colle tient bien.

Un cyclotouriste, montre qu’après 7500km et 15000km la sienne s’est vraiment bien dégradée. Pour lui le confort a diminué mais reste toujours très bon.

Le centre d'une selle de vélo sportive vue de 3/4 du dessus, avec deux fissures à l'intérieur de la fente centrale.
Le centre d'une selle de vélo sportive vue de dessous, avec deux fissures à l'intérieur de la fente centrale. Une mesure de 4cm est indiquée en rouge.

Nexity, un syndic qui ne respecte pas le RGPD

Ma copropriété avait quitté le syndic Nexity étant donné que nous n’étions plus du tout satisfaits de leurs services. Mais cette société m’envoie des pubs pour leurs activités de ventes immobilières, et malgré mes demandes multiples que je sois supprimé de leurs fichiers (sauf motifs légitimes pour les données de mon ancien contrat de syndic) en vertu du Règlement général sur la protection des données et une plainte (jugée recevable) auprès de la CNIL je reçois encore des pubs. Et aucune réponse de la part de Nexity.

Nexity, une société que je conseille d’éviter.

Écouteurs à conduction osseuse Shokz OpenRun: avis mitigé

Pour:

  • Ils tiennent bien en place.
  • On reste plus conscient de son environnement quand on court.
  • L’autonomie est bonne (pour le moment, mon téléphone a péché avant les écouteurs).
  • Légers.
  • Le câble de rechargement avec d’un côté un connecteur USB A et de l’autre un petit connecteur aimanté est pratique car il vient se loger correctement automatiquement, ce qui est de bonne augure pour sa durée de vie.

Contre:

  • La qualité sonore n’est vraiment pas terrible, mes écouteurs de base de téléphone Samsung donnent une meilleur impression.
  • Comme tous autres écouteurs, ils sont interdits à vélo ou au volant (en France) sous peine de verbalisation.
  • Comme les oreilles ne sont pas bouchées (c’est le but), ce n’est pas isolant, les sons extérieurs (ex: la foule et les trains à quai dans une gare) masquent rapidement le son.
  • Avec son arceau tour-de-cou, impossible de l’utiliser couché en position normale. Mais on peut orienter l’arceau vers le eau, voire le faire passer sur ou sous le menton (n’ouvrez pas la bouche!).
  • Le qualité du son du micro est vraiment médiocre (j’ai abandonné de faire des réunions téléphoniques avec).
  • Quand la batterie déclinera (je parie sur 4 ans max), les écouteurs ne seront plus qu’un déchet électronique.
  • Rapport qualité-prix assez faible, donc.
  • Fabriqué en Chine (régime autoritaire) par une société chinoise

Le naufrage SNCF Connect

Mais comment ont-ils pu se rater sur tellement de chose avec leur nouvelle application Android? Mauvaise planification du projet ou mauvaises priorités?

Un homme avec un look de type cowboy tenant un smartphone. Il a la bouche ouverte et son visage exprime la colère. Il porte un chapeau de cowboy et un sac à dos. L'arrière plan flou pourrait être les couloirs commerçant d'une gare.
« Incompréhensible! Inutilisable! Vous aurez des nouvelles du gouverneur! »
  • J’ai désactiver toutes les notifications, mais je reçois toujours celles qui m’intéressent le moins: les messages promotionnels.
  • Non je ne veux pas prendre une assurance pour mon TER. Ni d’une réservation d’hôtel. Ni d’une location de voiture.
  • Sur mon téléphone de 5.2 pouces, les résultats de recherches ne peuvent afficher que 2 trajets, ou un seul en cas d’information additionnelle (retard, travaux…).
  • Aux portiques de ma gare, il me faut environ 5 essais pour que le code barre affiché sur l’écran passe. Avec l’application précédente, cela marchait toujours du premier coup. Maintenant j’arrive un peu plus en avance (alors qu’un des attraits du train était de pouvoir arriver juste avant le train).
  • (corrigé) Au début, il était impossible de passer le tutoriel si on utilisait personalDNSfilter, un bloqueur de pub filtrant des noms de domaine.
  • (corrigé) L’affichage était très peu lisible, mais on peut maintenant choisir un thème clair.

Si son utilisation ne renflouait pas un peu la SNCF, j’utiliserais Thetrainline.