開けましておめでとうお久しぶりだな。
Première fournée 2017 de la mise à jour de mes paquets Anki:
Pour le vocabulaire : ça passe de 7759 à 7967 cartes.
Pour les kanjis : de 1963 à 1973 kanjis.
開けましておめでとうお久しぶりだな。
Première fournée 2017 de la mise à jour de mes paquets Anki:
Pour le vocabulaire : ça passe de 7759 à 7967 cartes.
Pour les kanjis : de 1963 à 1973 kanjis.
Adnauseam est une extension pour navigateurs (dont Chrome) qui clique automatiquement sur les pubs des pages web afin de rendre ces publicités non-rentables (si les annonceurs payent pour que les gens voient les pubs et que les statistiques des vues sont noyées par de clics bidons, alors il devient très difficile d’évaluer l’efficacité des pubs) et diminuer l’intérêt du profilage des visiteurs. Elle peut aussi cacher les pubs et bloquer le contenu malveillant.
Google vient de bannir de son Web Store (qui propose des extensions pour Chrome) cette extension. Motif? L’extension violerait les conditions d’utilisation du Web Store en n’ayant pas un unique but (ce que l’équipe d’Adnauseam réfute). Une raison fallacieuse qui vise à protéger à protéger ses intérêts financiers. Pire, ils la désactivent et empêchent son installation manuelle.
Google est adepte de ce genre de coups bas. Dans les premières qui me viennent en tête: comment ils forcent la main à l’utilisateur sous Android pour qu’il collecte des données de géolocalisation, leur lutte pour empêcher les utilisateurs qu’ils soient root sur Android ou pour empêcher les constructeurs de téléphones d’avoir des modèles basés sur des forks d’Android (comme la version d’Amazon).
Et ça marche: la plupart des gens utilisent la recherche Google, ont un compte Gmail et un téléphone Android. Mettre trop de pouvoir dans les même mains ne figure rien de bon. Mais l’inertie humaine fait que ça n’est pas prêt de changer.
Bernard Arnault en tant que méchant, fallait oser ! Ce n’est pas un empire du luxe qu’il veut mais un empire tout court ! Et puis Zatoichi et Machete alliés contre le mal, voilà encore un choix audacieux !
Je suis très déçu que les chroniques télé (Arte, France Info…) et les critiques écrites dévoilent des éléments importants de l’intrigue de ce dessin animé, en particulier des faits se passant dans la dernière partie du film ! Je suis heureux d’être allé le voir en ne sachant rien du film (sauf son réalisateur et son énorme succès au Japon), et j’ai pu pleinement l’apprécier. Donc je peux vous recommander d’aller le voir sans vous poser de question (pour peu qu’il soit diffusé près de chez vous). En japonais sous-titré si possible (question d’ambiance, vu qu’il s’agit d’une histoire se passant au Japon et parlant d’adolescents japonais). (une poignée de détails dévoilant l’intrigue sur cette page)
Il est classé « tout public », mais au Royaume-Uni il est recommandé à partir de 12 ans. Les adultes n’auront pas aucun problème à l’apprécier (ce n’est pas trop simpliste ou enfantin). Les spectateurs de ma séance (en VO en début de soirée) étaient majoritairement des adultes de 20-30 ans, le restant étant des adultes plus âgées et quelques enfants en famille.
Juste un mot sur le thème : il s’agit d’une comédie fantastique. Si vous avec vu « 5 centimètres par seconde » (du même réalisateur, et que je recommande aussi), vous pouvez avoir une idée du type de film (c’est à dire pas « un jeune garçon qui va se battre contre des Méchants grâce à ses super-pouvoirs »).
On comprend mieux certains détails avec des connaissances sur la société japonaise, mais ce n’est pas du tout rédhibitoire. Certains aspects ne peuvent tout simplement pas être traduits du japonais en français (tout comme on ne peut pas par exemple traduire le vouvoiement en anglais), mais les traducteurs ont fait du bon boulot (dans la mesure du possible).
Les dessins sont superbes. Quelle nostalgie de revoir de tels paysages ! (quel(s) type(s) de paysage(s) ? vous le saurez en allant voir le film ! 🙂 ). Les musiques, des Radwimps, sont également sublimes et collent parfaitement à l’histoire.
Pourquoi ne pas avoir tout simplement traduit le titre en français (« Ton nom. ») plutôt que d’avoir gardé le nom anglais (« Your name. ») qui est une traduction directe du nom japonais (« 君の名は。 », « kimi no na ha ») ? Dommage…
La candidature d’Emmanuel Macron est au centre des attentions. (mise à jour 11 février)
(mise à jour d’avril: nouvel article)
PS: attention, les doutes vis à vis d’un candidat ne veulent pas dire qu’il y ait un autre qui soit plus honnête, plus compétent ou ayant un meilleur projet.
お久しぶりだな。
La mise à jour (irrégulière) de mes paquets Anki:
Il y a quelques années, j’avais écarté le choix d’un abonnement à Mediapart car la résiliation se faisait par courrier simple. Le temps passe et j’ai à nouveau songé à m’abonner (c’est un des rares organes de presse indépendants), et… la procédure n’est guère meilleure. Les conditions générales de vente indiquent:
« Pour résilier un abonnement individuel : la procédure est indiquée en ligne. Elle est accessible, en mode connecté, sur le site dans l’espace « Mon Compte » > « Abonnement ». »
Je n’ai pas envie de m’abonner pour découvrir quelle est cette procédure. Faut-il envoyer un parchemin de résiliation par pigeon voyageur? Doit-on venir dans leurs locaux à dos de chameau pour leur présenter une demande sur tablette de pierre? Apparemment il serait possible de le faire par téléphone, mais je n’ai pas envie d’une procédure du millénaire précédent. Dommage pour eux, dommage pour moi.
Wallabag est une application web (et des extensions/programmes pour navigateur/téléphone) pour mettre de côté des pages web à lire plus tard. Il se veut une alternative libre à Pocket (donc le service est propriétaire).
J’utilise la version 1 de Wallabag jusqu’à présent avec plus ou moins de joie (l’ergonomie est moyenne). La version 2 est une grande déception, car grosso-modo je n’ai pas réussi à l’installer (dans un temps raisonnable):
Pour que cette application sorte du cercle des super-geeks développeurs qui ont du temps à déboguer, il faudrait que l’installation se fasse aussi simplement que de nombre de web apps à succès (WordPress, Piwik…).
Je suis bien conscient qu’une telle application ne s’écrit pas toute seule (mais bien par de valeureux contributeurs offrant leur temps), mais je crois que la priorité, avant les fonctionnalités facultatives, est quand même que les gens puissent l’installer.
(pour être juste, je continue moi-même à laisser traîner un bug important dans mes extensions Firefox: leurs réglages sont souvent perdus, le problème venant du SDK de Firefox et que j’attendais sagement qu’il soit corrigé, ce qui n’arrive pas et apparemment ne sera pas corrigé)
Voila un fonctionnement qui m’agace depuis des années. À chaque fois que j’active le GPS sur mon téléphone, Android me demande si je veux utiliser le système de positionnement rapide de Google, basé sur les antennes téléphoniques et les points d’accès Wi-Fi. Avec celui-ci le téléphone envoie à Google ces infos qui fournit en retour une position approximative. Qui sait ce qui fait Google avec ses informations… (une idée: des pubs ciblées)
Auparavant, il était possible d’accepter pour toujours, mais pas de refuser définitivement. Avec mon dernier téléphone, c’est pire: si j’accepte une seule fois (ce que j’ai fini par faire l’autre jour, on finit toujours par choisir le mauvais bouton par erreur), il n’est plus possible de revenir simplement en arrière!
Bref, Google met en œuvre beaucoup d’énergie pour s’imposer ses intérêts (autre exemple: la recherche Google ne fonctionne pas à travers Tor, alors qu’il y a des moyens simples d’éviter les abus permis par l’anonymat). Ceux qui ne rentrent pas dans le rang se voient opposé un parcours du combattant. Business is business.
En regardant Envoyé Spécial hier, j’ai appris l’existence de Raphaël Halet, le second lanceur d’alerte de LuxLeaks (qui révélé les accords très avantageux négocié par le cabinet PricewaterhouseCoopers auprès du fisc Luxembourgeois pour le compte de multinationales).
J’ai appris la possibilité pour tout un chacun d’aider financièrement cet homme (oserais-je dire « ce héros ») qui a subi la machine à broyer que peut mettre en place ce genre de puissantes sociétés, sans aucun support de l’État (dont les représentants se sont ensuite gargarisés de l’aspect inacceptable d’accords fiscaux). Dans l’ère pré-Internet, il aurait (avec ses proches) sûrement subi son sort tristement dans son coin, mais avec l’avènement des facilités de dons/payements, la campagne de soutien citoyenne sera à coup sûr un succès (surtout après le reportage).
Il est également possible d’aider Antoine Deltour (autre héros) le premier lanceur d’alertes de LuxLeaks.
Et avant de faire un don, vérifiez bien qu’il ne s’agit pas de sites frauduleux (j’ai trouvé les liens en cherchant sur DuckDuckGo pour ma part, mais ai vérifié qu’ils étaient bien référencés par des sources fiables comme par des journaux).