Hop, quelques cartes de plus dans mes paquets de japonais:
- Pour le vocabulaire : ça passe de 10242 à 10489 cartes.
- Pour les kanjis : de 2024 à 2030 kanjis.
Hop, quelques cartes de plus dans mes paquets de japonais:
Hop, quelques cartes de plus dans mes paquets de japonais:
Pour avoir l’interface de Firefox en japonais (à partir de la version 59), on peut bien sûr télécharger la version japonaise. Ou bien on peut installer un «pack de langue». Comme ceci:
Redémarrez votre navigateur. Préparez-vous à être un peu perdu.
Si on achète une Nintendo Switch en France (et sûrement n’importe où), il est possible de la configurer en langue japonaise: il suffit juste d’aller dans les réglages et de redémarrer (mieux vaut sauver sa partie avant), ce qui prend quelques dizaines de secondes.
J’ai donc eu le plaisir de jouer à Zelda en japonais (les rares dialogues audio tout comme le texte), tout en ayant la possibilité de rebasculer en français quand je ne comprends pas ou que je n’ai pas la motivation. Les kanjis des dialogues sont la plupart du temps surtitrés par des furiganas (hiragana donnant la prononciation).
Hop, quelques cartes de plus dans mes paquets de japonais:
お久しぶりだな。
La mise à jour (irrégulière) de mes paquets Anki:
Voila une source intarissable: la chaîne Youtube d’ANN News qui propose quotidiennement nombre de clips principalement sur l’actualité locale (japonaise). Vous verrez pléthore de faits divers (mot-clé: « 容疑者 », suspect), le 1er ministre toujours et encore, la météo et en ce moment les typhons.
Encore quelques uns de plus:
Kubuntu et KDE ne permettent pas de configuration facile pour taper du japonais (c’est le bug 329032, pas d’intégration de KDE avec les méthodes de saisie). Voila comment faire depuis une nouvelle installation.
Ibus est une « méthode de saisie », un composant du système qui permet de taper des caractères complexes. Anthy est un greffon (aussi appelé « plugin ») pour taper du japonais.
Pour l’installer en ligne de commande, taper ceci puis rentrer son mot de passe:
sudo apt-get install ibus ibus-anthy
Note: si vous préférez la méthode « mozc », rajouter « ibus-mozc » ou bien remplacez « ibus-anthy » par celui-ci.
On peut sûrement l’installer de manière graphique, mais je n’ai pas l’impression que les outils de base de Kubuntu (« Logithèque / Découvrir ») le permettent.
Note pour ceux ayant fait une mise à jour vers Kubuntu 17.04: si ibus ne démarre pas en suivant la procédure ci-dessous, supprimez le répertoire « .cache/ibus » (et peut-être aussi « ~/.config/ibus »).
Il faut qu’ibus soit lancé automatiquement quand on se connecte.
Il faut un réglage additionnel pour que les programmes utilisent ibus. En ligne de commande, exécuter la commande:
im-config -n ibus
Cela créera dans votre répertoire personnel un fichier « .xinputrc ». Il sera lu par je-ne-sais quel programme, et aura pour effet de remplir les variables d’environnement suivantes:
CLUTTER_IM_MODULE=xim GTK_IM_MODULE=ibus QT4_IM_MODULE=ibus QT_IM_MODULE=ibus XMODIFIERS=@im=ibus
Et ouvrez une nouvelle session afin d’avoir les configurations ci-dessus activées.
Normalement vous devriez avoir dans la « boîte à miniature » une icône ibus.
Maintenant, dans la plupart des programmes (mais pas les programmes Java), quand la méthode Anthy est activée, vous taperez en hiragana (taper au clavier «toukyou» donne «とおきょう»). Une fois les hiraganas d’un mot tapés, taper « espace » une ou plusieurs fois pour qu’il vous propose différentes écritures en kanji. Taper « entrée » pour choisir l’une d’entre elles.
On peut configurer les raccourcis d’Anthy (dans la fenêtre de configuration d’ibus). Par exemple, j’ai choisi « control-h » et « control-k » pour basculer respectivement en hiragana et en katakana.
C’était inéluctable (pour les japanophones): Christiane Taubira a pris la porte.