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La loi avait introduit des sanctions pour ceux qui refusent de donner les codes de déchiffrement de leur ordi/téléphone, dans le cadre de la lutte anti-terroriste. Sans surprise, ça a été étendu à des conditions très floues qui laissent le champ libre à la police de les exiger, de consulter le contenu des téléphones et de les confisquer en cas de refus. Une possibilité utilisée largement lors des manifestations contre des gens contre lesquels les charges sont de manière routinières abandonnées (parce que les accusations sont à la base du vent).
Si quelqu'un a importé ses contacts dans les services Meta et qu'on n'est pas inscrit à Facebook ou Instagram, il est possible de faire supprimer ses adresses e-mail et ses numéros de téléphone grâce à cette page: https://www.facebook.com/contacts/removal
NextInpact: Comment le « meilleur » stalkerware grand public s’adresse aux hommes en mal de contrôle
(accès abonnés) Un exemple application pour téléphones qui permet d'espionner ceux-ci, vendue tout à fait publiquement, proposant de surveiller ses enfants… ou son conjoint. Hypocritement, il est indiqué que le consentement du propriétaire est nécessaire (comme la loi l'exige)… en bas de page en petit caractères en grisée sur fond blanc après dépliement des notes.